COUCHER DE SOLEIL, LEVER DE LUNE, LEVER DE SOLEIL : AVENTURE NOCTURNE
Introduction de Mike Rose
Mots de Claire Bucar
Photos par Dylan Wolsky
Cavalier INTENSE Claire Bucar n'est pas étranger à l'aventure. En fait, on pourrait dire que toute sa vie a été une sorte d'aventure - de la coupe et de la poussée des courses de Coupe du monde de descente, en passant par l'entraînement, le mentorat, la conception graphique, etc., jusqu'ici, les hauteurs alpines des aventures nocturnes.
Récemment, juste avant l'arrivée de l'hiver, Claire et un petit groupe d'amis ont fait un voyage aux lacs Elfin, situés dans le parc provincial Garibaldi, juste à l'est de Squamish, en Colombie-Britannique, au Canada. Claire reprend l'histoire.
J'aime tous mes vélos et où ils m'emmènent. je peux saisir mon vélo de descente, rencontrez mes amis dans le parc à vélos et flottez sur Dirt Merchant jusqu'à A-Line, tour après tour de rires. je peux saisir mon vélo d'enduro, montez au sommet de certains des sentiers les plus noueux du monde et descendez des dalles de granit, des chutes à racines croisées et des rubans de terre à travers la mousse de la forêt, en utilisant tous mes sens pour m'amener au fond.
Dans tous les cas, c'est la liberté. Une façon de vivre l'instant. Une façon de créer de la joie et de l'euphorie. Une façon de jouer et de m'exprimer. Une façon d'être dehors. Mais la forme de liberté la plus pure et la plus curative que mes vélos peuvent me procurer est lorsque j'atteins mon débattement de 120 mm Tireur d'élite T Faites du vélo de descente et dirigez-vous vers la nature.
Vous ne vous lancez pas dans une aventure ou un voyage dans l'arrière-pays sans vous attendre à ce que ce soit difficile. C'est toujours une expérience réelle et humiliante. Chaque fois que je suis là-bas, mes jambes brûlent, mes poumons se soulèvent, mes muscles me font mal et je me bats la tête en me disant que ça fait mal, que c'est dur, que c'est inconfortable. Chaque fois que je suis là-bas, j'affronte les éléments, que ce soit la pluie, le vent, le froid, les animaux sauvages, la chaleur, la soif ou l'épuisement.
C'est toujours un sentiment de survie là-bas, de trouver son chemin, de gérer son équipement, de suivre son rythme, de rester affûté. Et à chaque fois j'adore. Parce qu'après tout le temps que nous passons dans nos petites maisons douillettes, prendre nos petites douches chaudes, manger nos petits plats réconfortants et écouter nos petits écrans de téléphone, d'ordinateur et de télévision... partir dans la nature me fait vraiment sentir vivant.
Les montagnes ont un son. C'est à la fois terrifiant et libérateur. C'est le son d'une vulnérabilité totale et c'est un soupir de soulagement. C'est le son de l'exposition, de l'immensité et c'est un silence qui calme le battement de votre cœur. C'est le sentiment de céder, complètement dépassé, en infériorité numérique. Et c'est le sentiment de se sentir petit, enveloppé dans leurs bras, aimé... par quelque chose de plus grand que je ne le sais, mais dont je sais qu'il est là.
De plus en plus, je me rends compte que ma conduite est plus une question de santé mentale qu'une forme d'exercice ou de plaisir. Et aller dans la nature, pour moi, c'est nécessaire. Il s'agit de s'évader, de raviver ma curiosité, d'être témoin de la beauté, d'être contraint à l'émerveillement et de réinitialiser mon âme. Mon Sniper T ne m'apporte pas tout cela. C'est plutôt le véhicule parfait pour m'y emmener.
Claire a roulé sur notre vélo léger Sniper T 'Downcounty' de 120 mm de débattement dans cette aventure. C'est le mélange parfait de capacité, d'efficacité et de plaisir.